Communiqué de Ensemble!
Que pouvait-on attendre d’autre de l’enquête administrative mené par l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) ?
Seuls les représentants des forces de l’ordre et de la préfecture ont été entendus.
Et ce rapport conclut à l’absence de « faute professionnelle » et de « manquements aux règles et techniques enseignées » relatif au maintien de l’ordre.
Et pourtant ce rapport est bien obligé d’indiquer qu’un major de la gendarmerie a reconnu avoir aperçu un manifestant à terre après le lancer de la grenade offensive.
De même que l’on sait que la mort de Rémy Fraisse était connu des gendarmes dès la nuit du 25 au 26 octobre, en lien direct avec l’emploi de grenades offensives, interdites depuis.